Alors que la réunion de ce nouveau comité de concertation n’est pas encore terminée, les premières informations et décisions filtrent. Si les coiffeurs et parcs animaliersvont pouvoir rouvrir, les autres devront encore attendre. Des décisions qui sont désormais confirmées
On sait que les experts du GEMS étaient opposés à la réouverture des professions de contact. Le comité de concertation reconnaît que la situation épidémiologique est mitigée, mais la baisse des hospitalisations a joué un rôle majeur dans la décision de rouvrir les métiers de contact en deux temps.
Les salons de coiffure vont donc pouvoir rouvrir le 13 février, comme annoncé au comité de concertation du 22 janvier. Dans le strict respect des protocoles, bien sûr.
Par contre, les autres professions de contact non médicales devront, elles, attendre le 1er mars : il s’agit ici des instituts de beauté, des salons de massage, des barbiers, des salons tatouage… Et de deux catégories que l’on n’avait pas citées ces derniers jours : les manucures et les pédicures non médicales.
Il n’y aura pas de limite dans le temps pour les traitements et un employé pourra s’occuper de plusieurs personnes. Pour autant que la salle soit suffisamment grande. Il va de soi que le respect des règles sanitaires est imposé, ainsi que le port de masques chirurgicaux (à changer après 4 heures d’utilisation intensive ou au maximum après 8 heures).
Les prestations à domicile resteront interdites.
Les visites de biens accompagnées par des professionnels dans le secteur immobilier seront rendues possibles à partir du 13 février.
Par ailleurs, les parcs zoologiques ouvriront également le 13 février aux mêmes conditions que les parcs naturels.
Quant aux maisons de vacances (dans les villages de vacances), aux parcs de bungalows et aux campings, ils rouvriront le 8 février, à l’exclusion, bien sûr, de leurs restaurants ou autres débits de boissons (cela vaut aussi pour toutes les facilités communes).
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