Couvre-feu à Ferrals-les-Corbières : services publics et commerces adaptent leurs horaires


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Couvre-feu à Ferrals-les-Corbières : services publics et commerces adaptent leurs horaires

Le couvre-feu étant avancé à 18 heures pour l’ensemble de la métropole dès ce samedi 16 janvier, voici le point des changements horaires concernant les services publics et les commerces de la commune.

Les services administratifs de la mairie seront ouverts au public de 9 à 12 heures (horaires inchangés) et de 15 à 18 heures (au lieu de 16 à 19 heures) jusqu’au vendredi 29 janvier.

Les commerces ont essayé de s’adapter aux besoins de leur clientèle.

Pas de changement pour la boulangerie qui reste ouverte tous les matins du lundi au dimanche, de 6 heures à 12 h 30.

Le restaurant En Catimini, fermé depuis le 17 octobre, proposait des plats à emporter le week-end, dans le but d’offrir un service à la population. La solidarité a joué dans les deux sens, une clientèle fidèle ayant répondu présent. Ce service va cesser, l’établissement étant en congé jusqu’au 14 février.

Contraintes

L’épicerie Les Belles Sœurs, qui pratique toujours le drive et les livraisons à domicile, va changer ses horaires : 7 h 30 à 13 heures, 15 à 18 heures. Le bureau de tabac d’Aurélie Dunant ouvrira de 6 h 30 à 13 heures et de 16 à 18 heures.

Le salon Sandrine coiffure fonctionnera du mardi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures, le samedi de 9 à 13 heures.

Reine coiffure sera ouverte du mardi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

L’esthéticienne de l’institut Quint & Sens reçoit toujours sur rendez-vous.

D’une manière générale, les commerçants ont peur qu’une ouverture plus tôt dans l’après-midi ne compense pas les ventes après 18 heures.

Pour le garage Matéo, un problème se pose : le fonctionnement de l’atelier est tributaire de la livraison de pièces. La dernière a lieu vers 16 h 30.

Il est donc parfois difficile de les monter de manière à ce que les clients puissent être rentrés chez eux à 18 heures, avec la problématique d’immobiliser un véhicule dont les gens ont impérativement besoin.


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